22 février 2012. Jour anniversaire:
Présentation de Denise Valero Boulet Dunn
Par
» La Valse Généalogique »
De Jean Louis VALERO
Interprétée au piano par le compositeur,
Et dossier musical et astrologique correspondant…
Tous droits réservés Sacem
Musique et partition synchronisées
Partition seule:
La Valse Généalogique de Denise (Poissons ascendant Bélier)
BIOGRAPHIE & TRAVAUX. Denise Boulet-Dunn
(ex Denise Valéro-Boulet)
Certains et certaines de mes correspondants et correspondantes réclament des informations sur ma biographie et l’aventure de ma vie. En réponse à leurs questions, deux textes :
1°): Brève histoire de ma vie.
Lors d’une « Galette des Rois », à l’Alliance française de San Diego, Californie , je dus condenser l’histoire de ma vie en dix minutes de speech…
L’idée et la demande venaient de la Présidente de l’Alliance française d’alors Marie Claude Garin-Guillaume.
Je saisis l’occasion de rendre ici hommage à sa très attachante personnalité : s’il me fut donné de rencontrer, au cours de mon existence, plusieurs présidents et présidentes de l’Alliance française, en France ou à l’Etranger, Marie Claude Garin-Guillaume restera pour moi la plus remarquable des responsables de cette association.
Véritable ambassadrice de la « doulce France », elle rassemble toutes les qualités souhaitées : éloquence aisée, connaissance approfondie des sujets à traiter, amour vrai de la vie et des gens et plus encore… Tout cela avec simplicité, élégance, sourire et un irrésistible rayonnement…
Je minutais: » Une vie en dix minutes … »
… dont voici une évocation:
La vie est une prodigieuse aventure… Un combat, bien sûr, une suite de luttes, mais en même temps la promesse de moments étoilés à saisir dès qu’ils se présentent, sachant qu’il faut absolument croire au Père Noël pour qu’il se manifeste. Voici quelques aspects d’une existence toujours lancée à la poursuite d’une étoile.
D’abord une naissance… Un 22 février… date anniversaire de Georges Washington et Frédéric Chopin : A quoi bon préciser la date ?
Famille émerveillée , mari amoureux aux pieds de la jeune accouchée souriant dans ses dentelles, prête à chanter pour ses proches tous les airs possibles de bel canto de son admirable voix de soprano.
Hauteurs d’une ville réputée pour son charme, sur les bords de la Méditerranée berbère, et capitale d’un département dit Français .
Beauté, amour, joie de vivre , illusions aussi : ma mère, à mon chevet, si souvent répétait lors de mon réveil :
-« A qui puis je être utile, agréable aujourd’hui ?
Voilà chaque matin ce qu’il faudrait se dire » !..
Il fallait croire aussi que seul, l’amour régnait sur terre… (note 1).
Une belle image pieuse de ma Communion Solennelle affirmait :
-« L’intimité de la vie avec des êtres de qualité est ce qu’il y a sur la terre de meilleur, de plus semblable à la vie du ciel »…(note 2)
De solides élitistes amitiés durèrent toute ma vie.
-« Fais de ta vie une œuvre d’art », conseillait le cher Oscar Wilde…
-« Attention de ne pas faire une « croûte » plaisanta mon fils aîné .
La France envoyait « là-bas » les plus titrés de ses enseignants. Mon lycée, de style néo mauresque, nommé « Fromentin, » en hommage à un peintre orientaliste, dominait superbement la baie d’Alger, du haut d’une colline. Son nom fut rremplacé par celui de « Descartes » mais l’esprit des lieux n’a pas cessé d’habiter les jeunes élèves, marqués par la qualité de l’enseignement prodigué….
Les petites « sixièmes », des classes de A’, debout dans la salle de classe, se lançaient dans des dialogues en latin sous l’enseignement de demoiselle Richard.
En classe de cinquième, j’organisai la représentation d’ Iphigénie de Racine, devant un parterre de professeurs et parents d’élèves, en incarnant, bien entendu, Iphigénie ! Cette pièce dramatique obtint un énorme succès de fou-rire.
En classe de quatrième, ce fut un drame classique en trois actes, de ma composition, respectant la règle des trois unités de lieu, temps, action :
« Irène Impératrice de Byzance »…
L’influence, sur mon jeune esprit, de mon professeur de Français, Mme Françoise Rollet-Giuliani, fut considérable.
En classe de troisième, sous la direction de Mme Laffitte, notre remarquable professeur d’Anglais un groupe de notre classe interpréta , tout en Anglais, et dans sa totalité, « Le songe d’une nuit d’été », de Shakespeare. J’incarnais le personnage de Bottom, avec sa tête d’âne…
Mes professeurs, ainsi que la directrice du Lycée, fondatrice de son internat, Mme Hatinguais, me prédisaient une brillante carrière …
C’était la gloire !
note 1 :
J ‘ai vraiment cru que l’ amour pouvait régner sur terre… Que tout le monde m’aimait, et que j’aimais tout le monde » !!!… Jusqu’à l ‘âge de 50 ans lorsque j’ai rencontré une haine féroce…
note 2:
-« Qu’est ce que la qualité » ? pourrez vous demander ?. Cela sera un autre sujet, à traiter par ailleurs…
-« L’homme fort sait rester seul » enseignait l’Oncle Charles…
Les temps devinrent très difficiles… La 2ème guerre mondiale.
Au petit matin du 8 novembre 1942 , quelle émotion ! Sur les hauteurs de l’ex rue Michelet d’Alger, je croisais une colonne de militaires, commando de choc britannique, tenue camouflée de combat, visage barbouillé de noir, qui descendait l’avenue en silence, au pas cadencé…
« Ils » avaient enfin débarqué ! Ma famille vivait dans l’attente de cet événement. Joie délirante, accueil chaleureux de notre part aux libérateurs, espoir en un avenir plein de promesses… Jamais le sentiment de profonde gratitude alors ressenti ne devait quitter ma mémoire…
Lors de l’arrivée, à Alger, du Général de Gaulle, des amis du Club Combat vinrent me chercher : j’étais choisie pour offrir l’apéritif à leur grand homme, et n’en menais pas large, ma main perdue dans la sienne, déçue, ne reconnaissant pas mon idole , celle de la photo que je vénérais et qui, finalement était celle de Leclerc…
Mes études au Lycée Fromentin se terminèrent par un double baccalauréat élitiste avec mention…ce fameux baccalauréat dont il a été dit , à l’époque, qu’il était « l’extrême onction de la culture bourgeoise »…
Hélas les promesses toujours renouvelées de mes professeurs :-« Vous serez agrégée à 22 ans », ne purent se réaliser.(note)
Etre titulaire d’une « agrégation » à 22 ans et auteur célèbre de pièces de théâtre et de romans semble avoir été nécessaire à mon équilibre !
Il me fallut de longues années de luttes et de remise en question pour me débarrasser de cette hypnose et de mes complexes…
NOTE
Cf. Robert Brasillac, » Corneille » These de doctorat, preface.
Phagocytée par les projets de familles qui, depuis longtemps, avaient décidé de s’unir par un mariage, le jeune homme étant un futur haut fonctionnaire, l’ ex-future agrégée se retrouva mariée à 18 ans et bientôt mère d’une adorable petite fille, Colette. Il y eut toutefois reprise des études… Non plus à Normale Sup. ou Sèvres, encore moins à Sciences Politiques auxquelles les filles n’eurent accès que plus tard, mais à L’Université locale avec « Etudes littéraires classiques », Anglais, Allemand, Russe. Un de nos professeurs, René Capitant nous expliquait la proche naissance de l’ENA : Ecole nationale d’Administration…
Un second mariage permit de vivre au Maroc, et de fréquenter les « Hautes Etudes Marocaines », avec la passionnante découverte des « Sources inédites de l’Histoire du Maroc », et des érudits arabisants français qui se passionnèrent pour elle.
Je cite: Henri de Castries, Pierre de Cenival, Robert Ricard.
Grâce à eux , ce fut la découverte de l’aventure portugaise, jalonnant les côtes marocaines de forteresses, au long de trois siècles et demi (1415-1768) et la publication de ma « Petite histoire des ruines portugaises au Maroc »…
Non sans mettre au monde un lumineux petit garçon, Jean Louis. Les affaires familiales installées sur Alger, Casablanca, Oran, imposaient des déplacements réguliers et fort agréables, entre ces trois villes.
Un troisième enfant, merveilleux petit garçon aussi, Romain, devait naître dans cette dernière ville.
Les « évènements » se précipitaient.
Il fallait quitter des lieux dont les Pouvoirs avaient toujours affirmé qu’ils étaient la France elle-même. Une amie américaine proposait son aide matérielle et morale. Personnellement j’étais fortement tentée par un établissement aux USA.
De désagréables souvenirs scolaires en classe d’Anglais rebutaient mon époux.
Le Brésil avait la côte ! Ce fut un passionnant voyage de prospection économique. Je l’ai conté dans un sérieux reportage qui relate notre angoisse de l’époque. L’accueil de nombreux Français installés là bas, et celui de Brésiliens d’origine fut chaleureux . Mais… finalement il fut décidé de rejoindre la France hexagonale.
Quittant villas , jardins, espace, je me retrouvais pour un temps, avec les enfants,
dans un appartement meublé du centre de Nice. Les deux petits garçons, bien que fort jeunes avaient été choqués au point de présenter les symptômes de graves maladies : chez l’un, c’était la polio, chez l’autre, la leucémie.
-« Allez vite en montagne » conseillèrent les médecins.
Huit jours à Saint Martin Vésubie et tout rentra dans l’ordre.
Mon mari devait nous rejoindre à bord de son bateau . Avec l’aide d’un copain il
put voguer, à la voile , d’Alger à Bandol, en passant par les Baléares…
Logés enfin convenablement je commençais à m’ émerveiller pour toutes les nouveautés qui s’offraient à moi. Tout particulièrement une prodigieuse découverte :
les activités socio-culturelles.
Quel bonheur, quelle émotion de pouvoir rencontrer, ici et là, au détour d’un chemin de promenade ou dans une réception du Préfet ou du Maire, Jean Cocteau, Grace Kelly, Ozenfant et bien d’autres…Et de nouer des amitiés de grande qualité. Citons celle d’un prestigieux avocat, ancien bâtonnier de l’Ordre au Maroc, Jacques Busquet, pour moi véritable grand père, indulgent, bienveillant, aveec qui je me spécialisais dans la loi de juillet 1901 relative aux Associations. Animée par le virus de l’associationnite, je créais plusieurs groupes socio-culturels…
Relativement privilégiée par rapport à beaucoup d’autres il était automatique, ayant
« la tripe sociale », de vouloir aider les réfugiés des ex colonies ou Protectorats français , Indochine, Tunisie, Maroc, bientôt Algérie…Ce qui me valut diverses distinctions dont le Mérite Social. La plus grande récompense est en fait le plaisir que l’on éprouve soi même dans de telles actions…
La rencontre d’adversaires masculins déclancha une éphémère période ultra féministe. Rédaction d’un pamphlet : « l’Impérialisme masculin ». Membre de l’Association France Etats Unis, je me servais de documents prétés par l’ex consulat américain de Nice sur la vie des femmes dans la politique américaine.
Ce fut aussi le début d’enquêtes généalogiques, qui devaient durer des décades et m’amener jusqu’en 1540 en Suisse, passant par
l’Alsace…Mais aussi en d’autres régions de France et en d’autres pays.
Le peuplement européen de l ‘ ex Algérie française peut se comparer à celui des Etats Unis d’Amérique, avec son « melting pot »…Parmi mes ascendants plusieurs branches alsaciennes optèrent, avec succès, pour le Texas, d’autres furent dirigées vers l’Algérie par les Pouvoirs de l’époque.
Les enfants grandissaient, montraient des personnalités très différentes. Je m’efforçais de leur donner les moyens de devenir vraiment eux mêmes et pour mieux les suivre
dans leurs études, devins présidente de l’ « Association de Parents
d’Elèves de l’Enseignement Public », d’abord pour la seule ville de Nice, ensuite pour les trois départements, Var, Alpes Maritimes, Corse…Ce fut une période enrichissante d’études et de recherches .
Suivit le lancement , par Chaban-Delmas, de la «Formation Permanente dans les Universités « , pour laquelle je militai ardemment…La rencontre, en commisssions, de Conseillers d’Etat, et Universitaires de haut niveau me délivrèrent de mes complexes quant aux agrégations et autres doctorats.
Par ailleurs l’organisation, couronnée de succès, d’un salon d’entr’aide, au profit d’artistes d’Afrique du nord fut le prélude à la publication d’un document : -« Côte d’Azur, Peintres et Sculpteurs », devenu, paraît il, un « must » pour les collectionneurs.»
Dans la foulée fut créée la « FARCA »,
« Fédération artistique de la Côte d’Azur », association de soutien aux artistes, qui se battit vaillamment pendant une bonne dizaine d’années pour visiter les ateliers, mettre en contact amateurs d’art et créateurs…
Le poids moral de tous ces groupes aida certainement la création d’un musée privé : le « musée international de malacologie » dans le Vieux Nice. Mot peu commun, « malacologie » , vient du grec, « malacos » qui signifie « mou ». La malacologie est la science de ces animaux à corps mou, les mollusques, qui, le plus souvent, sécrètent des coquillages…Le musée fonctionna en centre culturel dans le vieux quartier de la ville. Les enfants se plaisaient beaucoup dans cette unité pédagogique. Plusieurs d’entre eux y trouvèrent une vocation…Finalement le musée devint propriété de la ville , ma famille étant lasse de mes incessantes activités…
Celles ci me valurent une place dans le «Who’s Who of American Women ». Bien loin d’imaginer alors que mes dernières années se passeraient aux USA…
Et ce fut le début d’une fructueuse récolte : la naissance de mon premier petit enfant, Nicolas, fils de Colette,qui fut absolument adoré , puis de son
frère, Jean Pierre, lui aussi très remarquable specimen d’humanité, comme Gabriel , premier enfant de Jean Louis, suivi par sa sœur Flora, ensuite Océane, fille de Romain, suivie par sa soeur Maïa, son frère Loris…Derniers en date, Paul, troisième enfant de Jean Louis et finalement le 1er janvier 2010, arrivée du premier arrière petit fils , « Matteo » fils de Jean Pierre. Sa ^petite soeur, la dernière en date, Nina , toute de beauté et de séduction, déjà…
Tous, et chacun d’eux apportent leur générosité, leur ouverture d’esprit, leur courage, leur ardeur à bien faire, bien dire, bien penser…
Là sont mes vraies richesses…même si, aujourd’hui, elles sont devenues quasi virtuelles…
Le temps me fut enfin donné pour revenir à ma vieille passion : l’Histoire du Maroc et préparer la biographie du premier Saàdien.
Pendant cinq ans, tous les matins, dès l’aurore, je retrouvais mes personnages et mes immenses amis, les érudits français. Installée dans un énorme fauteuil de style Régence, en bois doré, tapissé de soie rouge, je dégustai mon café fort dans un tasse vénitienne , dix huitième siècle, provenant de la Kasbah d’Alger…
Le livre était né :
« El Mahdi le Saàdien, roi de Marrakech et Fès 1491-1557 »…
Impossible ensuite de trouver un éditeur en France, encore moins au Maroc, où je fis un voyage, pour apprendre que le Roi Hassan II ne voulait entendre et lire que ce qui concernait sa propre dynastie…
En même temps que cet échec une avalanche de deuils familiaux majeurs successifs s’abattit sur moi. Déséquilibrée, plongée dans une sorte de désespoir, de laisser-aller je croyais être parvenue au terme de mon existence…
Non loin de moi une famille harmonieuse et aimante, chacun menant pleinement sa vie personnelle. Et c’est par mes enfants et mes petits enfants, avec leur assistance, leur enseignement, que j’abordais la nouvelle ère, celle de l’électronique et des ordinateurs qui, pour moi, allait prendre tant d’importance.
Jusqu’au jour où une petite voix se mit à m’admonester :
-« C’en est assez ! Tu dois réagir ! Tu dois te battre ! Trouve un éditeur ! Cherche le aux Etats Unis , par Internet » !!!
Ma bouteille à la mer prit la forme d’un mel, adressé au vice président d’une importante société d’imprimerie de Californie….sans attendre vraiment de réponse…Et voilà qu’une réponse arriva, courtoise, charmante, et… en Français ! Avec des renseignements pertinents…
Remercier semblait la moindre des choses…Une correspondance s’engagea…
-« J’aime beaucoup la France, j’ai visité Paris déjà six fois » m’apprit mon nouveau correspondant. Bientôt vint un appel téléphonique. J’appréciais son accent classique. Nos échanges d’idées montraient nos correspondances , nos similitudes de goûts et de pensée…Et voilà : ma vie n’était pas terminée…
Habitée par l’esprit de mes ancêtres, malheureueement pionniers d’Algérie
(« Pioneers= pieds-noirs) au lieu d’ avoir été pionniers d’Amérique, je débarquai à l’aéroport de Los Angeles (Lax), le 23 mars 2001, il y a déjà plus de dix ans… William Wayne Dunn-Hubbell , dit plus simplement « Bill » , m’attendait là. Depuis, il semble bien que, pour une femme française, j’aie battu un record
en assistant, avec mon mari américain, « fan » de base ball, à cent onze matches de ce sport national…Ai visité 36 Etats, visionné des milliers de films, applaudi de nombreuses comédies musicales au théâtre, et dégusté la meilleure cuisine française ici et là, aux USA. (note)
Une nouvelle existence m’a ainsi été offerte, comme un grand cadeau dont je suis reconnaissante… Jusqu’à quand ? Combien de temps encore ?
–« Pour réussir sa vie, disait en substance Napoléon, il faut se comporter comme si l’on était immortel »…
C’est ce que, Bill et moi, nous efforçons d’accomplir….
Note.
Ma série : « California me voilà » conte tous les détails de cette nouvelle vie.
Denise Boulet-Dunn (ex Denise Valéro-Boulet)
WORKS: Travaux divers…
Liste non limitative
d’ oeuvres diverses: manuscrits ou publications en date de mars 2011, revue en 2015…)
Ajout hors liste:
Agée de trois ans, sous l’impulsion de sa marraine Reine Paulet, trop timide pour
incarner “Madame” fut la suivante de Lady Malborough, danss la vieille chanson
“Monsieur Malbrough est mort… Madame à sa tour monte etc…”(cf. photo).
la voici en longue robe blanche…
1) 8 ans, école Tirman, Alger, organisation tombola gratuite, et chanson:
“Sur la route de biscuit”…
2) en classe de 5eme, Lycee Fromentin, interpretation de “Iphigenie” de Racine, présentée en totalité. Rôle de Iphigenie devant tous les professeurs et parents d’eleves, dans la Cour mauresque du lycee Fromentin..
3)” Irene, Impéeratrice de Byzance” Tragedie classique en trois actes, en alexandrins.(Alger 1937)interprétée par des eleves devant plusieurs professeurs et Madame Hatinguais, directrice de Fromentin, Future fondatrice des “Etudes internationales de Sevres”.. Dans la grande salle de dessin en rotonde.
4 )Poèmes ”De l’aube au crepuscule”(Alger 1938-Nice 1994)
5“Petite Histoire des ruines portugaises au Maroc”
( Imprimerie universelle, Casablanca 1952)
6“Bresil 1956” recit de voyage.
7L’Imperialisme masculin (Nice 1959:inacheve)
8 Genealogie familiale deposee aupres du CFH: Centre francais d’Heraldique
avec Armoiries(publiees dans l’Armorial francais)
(Nice 1958-!993)
9) “Côte d’Azur, Peintres et Sculpteurs”
document (Nice 1961 Editions Moliere)
10) “ Journal” (annee 1964). Manuscrit. ( Nice –Corse)
11 ) “Racines aeriennes” Exercices. Manuscrits:
“Le Consul”, “Le Peintre”, “L’Appartement” ( Nice 1964).
12) Création d’un musee prive dans le Vieux Nice, Le “Musee international de malacologie” ((Memoire d’archives Nice 1975)
13)Nouvelles diverses, Bulletin malacologique “Pes pelicani”, exposes, communications, conéerences ( Nice 1965-1992).
14)Fondations d’associations 1901:
“Farca”= Federation artistique Cote d’Azur,
“CFMCA”= Centre francais de malacologie Cote d’Azur”.
“UAALA”:Union Anciennes et Anciens des lycées d’Algérie”…
Responsabilites socio- culturelles diverses:.
Présidente régionale de la PEEP, “Parents d’élèves de l’Enseignement public:Alpes maritimes, Var, Corse”,
Distinctions diverses:
Chevalier Ordre Merite Social ,Nice 1962.
Merite national, Encouragement au Progrès etc…
( Nice 1961-1964-78))
et autres distinctions..
15) Organisation avec sa fille Colette Marechal Tavanti,d’un “Festival de malacologie” Paris , Louvre, Musée des Arts Decoratifs decembre 1972. Presentation diaporama . Contribution des Professeurs Pierre Gossé et René Huyghe, Membres de l”institut.
16) Conférence à Nice, au CUM : Carrefour Universitaire Méditerranéen :” De la Préhistoire àa Mururoa les coquillages nous parlent de l’Homme”.Février 1966.
17)“Au bord de la mer, que devenir”commande Hachette Jeunesse. Maquette
Pierre Belves ( Nice 1973-74).
Centre culturel de la ville de Vichy:
“Magie des coquillages”1974.
18)“16 histoires de coquillages” ( Nice 1976)
19)“El Mahdi Le Saàdien” (1er jet Nice 1979.1984.)
Premieres lectrices Elisabeth Valéro et Mme Montagner.
20)“ Les cèdres de Teniet el Haad” Nice 1988.
21)“ Le voyage magique de Vahine Toua” diaporama
avec musique de Jean Louis Valero présenté a Nice Acropolis, 9 décembre 1989.
22)“ Mare Nostrum, jeux d’eau”(Olmetta di Tuda, Corse,1964- Nice1994).
23)“ Entre le sable et les étoiles, une vie 1923-1990” (Nice 1990.)
24)“Poèmes de Carle et Cathy ( Nice1992-93)
25) Participation à des recherches historiques de groupe pour la
connaissance des Hauts Plateaux Setifiens (Algerie) et plus
précisement de Bordj Bou Arreridj.
26) Création d’un Website culturel et eclectique:
avec l’aide technique et sine qua non de son petit fils Nicolas Tavanti,
assiste de son frere Jean Pierre.
27) “El Mahdi le Saàdien, roi de Fes et de Marrakech (1497-1557)
Couverture Jean Louis Valero
( Nice 1979-1984, repris à San Diego, Californie 2004-2005)
Trafford edit 2006.
27Conférence:”Amitie franco-marocaine”
Alliance francaise de San Diego, CA 26 avril 2006.
28 “Petites histoires dans grande Histoire” (Volume 1) San Diego 2007.
29 En preparation:
-” Mon aventure américaine ».
- Textes témoignages destines à un “Blog” créé par Jean Louis Valéro , en date du 22 février 2010.
Adresse: www.denisebd.wordpress.com
Etc…etc…etc…
Memories of a New Citizen
A senior true love story
Part I :
How it happened
Part II:
Life in San Diego
Part III:
Frenchie Julie discovers America
(Our travels)
Part IV
And now what to say after a seven years stay
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Bonjour Mme, je souhaitais communiquer avec vous au sujet du docteur BURROU, J’ai « peut être » connu sa fille, il y a des poins concordants ….
Lakhdar Omar
Bravo pour votre ouvrage sur l’histoire des Saadiens. J’ai lu l’histoire de la concubine » Zahar » qui est citée dans les documents de Diego de Torres. Il y a une autre esclave du nom de ‘Ouda’ qui prend le nom de Messaouda, la mère de Ahmed El Mansour Dahbi. Connaissez vous son histoire qui me parait très obscure! merci
Enchantée de lire que vous avez lu l’histoire de Zahar. Quant à « Ouda », mes souvenirs sont lointains dans le temps et mes archives lointaines géographiquement mais… Je crois me rappeler que « Ouda », l’épouse de El Mansour n’était pas une esclave mais une aristocrate. Fort intelligente et active, elle s’intéressait aux ponts et grands travaux d’art… Etant enceinte, elle n’avait pas résisté à un plat de fruits ( je ne me rappelle plus lesquels) en plein Rhamadan… Mais, vu son état elle fut excusée. Une chanson, paraît il, existerait toujours à son sujet, à Marrakech, rappelant qu’elle avait mangé aux temps du Rhamadan… El Mansour l’aurait beaucoup appréciée …
Merci pour les informations que vous avez bien voulu me donner. Je ne sais pas si vous connaissez les origines de Lalla Messaouda qui paraissent énigmatiques si on lit un ouvrage de Haïm Zafrani. Il parait Lalla Messaouda n’est que la nourrice de Ahmed Al Mansour Dahbi. La vraie mère du sltan serait morte après la naissance de son bébé.
Savez vous quelque chose sur cette mystérieuse histoire?
A toutes fins utiles…
J’ai recherché pour vous et enfin trouvé dans mes notes
( El OUFRANI, op. cit, p 140 et GPDS, n. 14. « MESSAOUDA », dite « OUDA », fille du
fameux cheikh Abou l’Abbas Ahmed ben Abdallah el Ouzguiti el OUERZERATI.
Ceci est mentionné dans mon récit N0 12 du Saàdien « Prise de Fès Fondation d’une dynastie ».