Note importante du fils aîné jean-louis Valero: Je vais remettre régulièrement un peu d’ordre à ce site que ma mère a nourri pêle-mêle jusqu’à ses derniers jours. Conçu pour ordinateur, il n’est pas encore optimisé pour smartphone… veuillez cliquer ici pour noter automatiquement son adresse sur votre email
( Sur téléphone les menus sont en haut à gauche… )
Attention à mes trois noms !
Mariée trois fois ( la dernière à l’ âge de 79 ans ), la première, par mes parents, à l’âge de 18 ans en 1941, je fus Denise Maréchal-Boulet… Puis, par amour, Denise Valéro de 1951 à 1990… et par amour de la vie, Denise Boulet-Dunn de 2002 à 2020… Je fus surtout et publiai sous le nom de: Denise Valéro, Denise Valéro-Boulet et Denise Boulet-Dunn.
« Racines »? ou « Racines aériennes » ??? |
Dans un admirable texte de son « Croisade sans croix », Arthur Koestler, a décrit l’afflux des réfugiés qui se retrouvaient à Lisbonne durant la deuxième Guerre mondiale (1939-45) fuyant le nazisme de l’Europe de l’Est.
Les uns, les plus désespérés, étaient vraiment des déracinés, qui allaient mourir!
Les autres, bouillants d’énergie et du désir de survivre, étaient des « racines aériennes »..
C’est parmi ces « racines aériennes » capables de se nourrir d’air, de soleil et d’espoir, que je me situe!
Racine aérienne riche de son « laraire », ses archives familiales, provenant du Haut-Rhin surtout, mais aussi du Tarn, de Malte, d’Espagne et des anciens « départements français », nous disait-on, qui se trouvaient alors en Algérie. Là ses ascendants, si différents, avaient fusionné, cimentés par l’enseignement français, la culture française prodiguée par cette France mythique, adorée, cette Atlantide pour laquelle donner sa vie semblait normal… …
Là est née ma famille, dans ce puissant athanor… Dans l’oubli des terres de ses ancêtres, forte de ses ambitions, de sa santé de fer, forte de ses sacrifices, de son labeur, de ses rêves…
Ensuite ce fut la déchirure…Le « melting pot » « pied – noir » est aujourd’hui devenu levain de la jeune Europe pour ceux demeurés dans ces régions ! Il se retrouve aussi dans la diaspora de ce peuple nouveau, un peu partout où luit le soleil, où s’allongent, « toujours recommencés », mers et océans…
Quant à moi, l’aventure de la vie m’a transportée à 78 ans en Californie, faisant de moi une «nouvelle espèce », pour une seconde existence, hors du temps… Pendant une durée de vingt ans !!! Comme dans un conte de fée, aux côtés d’un prince charmant qui, un jour disparut, comme tous nous devons disparaître atteints par maladies, accidents, limite d’âge… Désormais sans mon compagnon je rêvais de mes enfants, petits enfants, tous en Europe, en France, près de Paris, en Ile de France…
Dourdan, avril 2021
J’eus le privilège d’un extraordinaire voyage de retour avec Air France qui fut inoubliable par tous les égards, la gentillesse, l’amitié que tout l’équipage me prodigua…
En 20 ans, la France et le monde ont changé et les temps présents et à venir se montrent difficiles… Espérons que les êtres humains se montreront aussi sages que possible, se comprendront les uns les autres dans leurs différences et s’en enrichiront…
Denise Boulet-Dunn (ex Denise Valéro).
Ma biographie ?
Commençons…
Lors d’une « Galette des Rois », à l’Alliance française de San Diego, Californie , je dus condenser l’histoire de ma vie en dix minutes de speech…
L’idée et la demande venaient de la Présidente de l’Alliance française d’alors Marie Claude Garin-Guillaume.
Je saisis l’occasion de rendre ici hommage à sa très attachante personnalité : s’il me fut donné de rencontrer, au cours de mon existence, plusieurs présidents et présidentes de l’Alliance française, en France ou à l’Etranger, Marie Claude Garin-Guillaume restera pour moi la plus remarquable des responsables de cette association.
Véritable ambassadrice de la « doulce France », elle rassemble toutes les qualités souhaitées : éloquence aisée, connaissance approfondie des sujets à traiter, amour vrai de la vie et des gens et plus encore… Tout cela avec simplicité, élégance, sourire et un irrésistible rayonnement…
Je minutais: » Une vie en dix minutes … »
… dont voici une évocation:
La vie est une prodigieuse aventure… Un combat, bien sûr, une suite de luttes, mais en même temps la promesse de moments éblouissants à saisir dès qu’ils se présentent, sachant qu’il faut absolument croire au Merveilleux pour qu’il se manifeste. Voici quelques aspects d’une existence toujours lancée à la poursuite d’une étoile, à l’imitation de ces rois mages venus d’Orient.
D’abord une naissance… Un 22 février… date anniversaire de Charles VII, Georges Washington, Schopenhauer mais aussi des statuts de l’Académie Française…
Famille émerveillée , mari amoureux aux pieds de la jeune accouchée, maman souriant dans ses dentelles, prête à chanter pour ses proches tous les airs possibles de bel canto de son admirable voix de soprano.
Hauteurs d’une ville réputée pour son charme, sur les bords de la Méditerranée berbère, et capitale d’un département dit Français à l’époque…
Beauté, amour, joie de vivre , illusions aussi : ma mère, à mon chevet, si souvent répétait lors de mon réveil :
-« A qui puis je être utile, agréable aujourd’hui ?
Voilà chaque matin ce qu’il faudrait se dire » !..
Il fallait croire aussi que seul, l’amour régnait sur terre…
( J ‘ai vraiment cru que l’ amour pouvait régner sur terre… Que tout le monde m’aimait, et que j’aimais tout le monde » !!!… Jusqu’à l ‘âge de 50 ans lorsque j’ai rencontré une haine féroce…)
Une belle image pieuse de ma Communion Solennelle affirmait :
« L’intimité de la vie avec des êtres de qualité est ce qu’il y a sur la terre de meilleur, de plus semblable à la vie du ciel »…
De solides élitistes amitiés durèrent toute ma vie.
-« Fais de ta vie une oeuvre d’art », conseillait le cher Oscar Wilde…
-« Attention de ne pas en faire une « croûte » plaisanta mon fils aîné .
La France envoyait « là-bas » les plus titrés de ses enseignants. Mon lycée, de style néo mauresque, nommé « Fromentin, » en hommage à un peintre orientaliste, dominait superbement la baie d’Alger, du haut d’une colline. Les petites « sixièmes », des classes de A’, debout dans la salle de classe, se lançaient dans des dialogues en latin sous l’enseignement de demoiselle Richard.
En classe de cinquième, j’organisai la représentation d’ Iphigénie de Racine, devant un parterre de professeurs et parents d’élèves, en incarnant, bien entendu, Iphigénie ! Cette pièce dramatique obtint un énorme succès de fou-rire.
En classe de quatrième, ce fut un drame classique en trois actes, de ma composition, respectant la règle des trois unités de lieu, temps, action :
– « Irène Impératrice de Byzance »…
L’influence, sur mon jeune esprit, de mon professeur de Français, Mme Françoise Rollet-Giuliani, fut considérable.
En classe de troisième, sous la direction de Mme Laffitte, notre remarquable professeur d’Anglais un groupe de notre classe interpréta , tout en Anglais, et dans sa totalité, « Le songe d’une nuit d’été », de Shakespeare. J’incarnais le personnage de Bottom, avec sa tête d’âne…
Mes professeurs, ainsi que la directrice du Lycée, fondatrice de son internat, Mme Hatinguais, me prédisaient une brillante carrière …
C’était la gloire !
L’ été se passait en général dans des lieux sauvages et superbes, en bord de mer, dans la solitude de plages privées…
-« L’homme fort sait rester seul » enseignait l’Oncle Charles…
Les temps devinrent très difficiles… avec la 2ème guerre mondiale.
Au petit matin du 8 novembre 1942 , quelle émotion ! Sur les hauteurs de l’ex rue Michelet d’Alger, je croisais une colonne de militaires, commando de choc britannique, tenues camouflées de combat, visages barbouillés de noir, qui descendait l’avenue en silence, au pas cadencé…
« Ils » avaient enfin débarqué ! Ma famille vivait dans l’attente de cet événement. Joie délirante, accueil chaleureux de notre part aux libérateurs, espoir en un avenir plein de promesses… Jamais le sentiment de profonde gratitude alors ressenti ne devait quitter ma mémoire…
Lors de l’arrivée, à Alger, du Général de Gaulle, des amis du Club Combat vinrent me chercher : j’étais choisie pour offrir l’apéritif à leur grand homme, et n’en menais pas large, ma main perdue dans la sienne, déçue, ne reconnaissant pas mon idole , celle de la photo que je vénérais et qui, finalement était celle de Leclerc…
Mes études au Lycée Fromentin se terminèrent par un double baccalauréat élitiste avec mention… ce fameux baccalauréat 1941, dont il a été dit , à l’époque, qu’il était « l’extrême onction de la culture bourgeoise »…
Hélas les promesses toujours renouvelées de mes professeurs :-« Vous serez agrégée à 22 ans », ne purent se réaliser. Etre titulaire d’une « agrégation » à 22 ans et auteur célèbre de pièces de théâtre et de romans semble avoir été nécessaire à mon équilibre !
Il me fallut de longues années de luttes et de remise en question pour me débarrasser de cette hypnose et de mes complexes…
Phagocytée par les projets de familles qui, depuis longtemps, avaient décidé de s’unir par un mariage, le jeune homme étant un futur haut fonctionnaire, l’ ex-future agrégée se retrouva mariée à 18 ans et bientôt mère d’une adorable petite fille, Colette.
Il y eut toutefois reprise des études… Non plus à Normale Sup. ou Sèvres, encore moins à Sciences Politiques auxquelles les filles n’eurent accès que plus tard, mais à L’Université locale avec « Etudes littéraires classiques », anglais, allemand, russe. Un de nos professeurs, René Capitant nous expliquait la proche naissance de l’ENA : Ecole Nationale d’Administration…
Notre lecteur d’allemand, langue exigée pour le certificat de philologie , Gérard Bodenheimer, nous fascinait en nous contant ses dramatiques aventures et celles de ses parents, déportés à Auschwitz. Avec mon amie de toujours, Viviane Petit-Jean-Isner , nous réunissions autour de lui le premier groupe culturel de ma vie…
Un second mariage, avec François Valero, permit de vivre au Maroc, et de fréquenter les « Hautes Etudes Marocaines », avec la passionnante découverte des « Sources inédites de l’Histoire du Maroc », et des érudits arabisants français qui se passionnèrent pour elle.
Grâce à eux , ce fut la découverte de l’aventure portugaise, jalonnant les côtes marocaines de forteresses, au long de trois siècles et demi (1415-1768) et la publication de ma « Petite Histoire des Ruines Portugaises au Maroc »…
Non sans mettre au monde un lumineux petit garçon, Jean Louis. Les affaires familiales installées sur Alger, Casablanca, Oran, imposaient des déplacements réguliers et fort agréables, entre ces trois villes. Un troisième enfant, merveilleux petit garçon aussi, Romain, devait naître dans cette dernière ville.
Les « évènements » se précipitaient.
Il fallait quitter des lieux dont les Pouvoirs avaient toujours affirmé qu’ils étaient la France elle-même. Une amie américaine proposait son aide matérielle et morale. Personnellement j’étais fortement tentée par un établissement aux USA. De désagréables souvenirs scolaires en classe d’Anglais rebutaient mon époux.
Le Brésil avait la côte ! Ce fut un passionnant voyage de prospection économique. Je l’ai conté dans un sérieux reportage qui relate notre angoisse de l’époque. L’accueil de nombreux Français installés là bas, et celui de Brésiliens d’origine fut chaleureux . Mais… finalement il fut décidé de rejoindre la France hexagonale.
Quittant villas , jardins, espace, je me retrouvais pour un temps, avec les enfants, dans un appartement meublé du centre de Nice. Les deux petits garçons, bien que fort jeunes avaient été choqués au point de présenter les symptômes de graves maladies : chez l’un, c’était la polio, chez l’autre, la leucémie.
-« Allez vite en montagne » conseillèrent les médecins. Huit jours à Saint Martin Vésubie et tout rentra dans l’ordre.
Mon mari devait nous rejoindre à bord de son bateau, Bacbuc. Avec l’aide d’un copain il put voguer, à la voile , d’Alger à Bandol, en passant par les Baléares…
Logés enfin convenablement je commençais à m’ émerveiller pour toutes les nouveautés qui s’offraient à moi. Tout particulièrement une prodigieuse découverte : les activités socio-culturelles.
Quel bonheur, quelle émotion de pouvoir rencontrer, ici et là, au détour d’un chemin de promenade ou dans une réception du Préfet ou du Maire, Jean Cocteau, Grace Kelly, Ozenfant et bien d’autres…Et de nouer des amitiés de grande qualité. Citons celle d’un prestigieux avocat, ancien bâtonnier de l’Ordre au Maroc, Jacques Busquet, pour moi véritable Grand Père, indulgent, bienveillant, avec qui je me spécialisais dans la loi de juillet 1901 relative aux Associations. Animée par le virus de l’associationnite, je créais plusieurs groupes socio-culturels…
Relativement privilégiée par rapport à beaucoup d’autres il était automatique, ayant «la tripe sociale», de vouloir aider les réfugiés des ex colonies ou Protectorats français , Indochine, Tunisie, Maroc, bientôt Algérie… ce qui me valut diverses distinctions dont le Mérite Social. La plus grande récompense est en fait le plaisir que l’on éprouve soi même dans de telles actions…
La rencontre d’adversaires masculins déclencha une éphémère période ultra féministe.
Rédaction d’un pamphlet : « l’Impérialisme masculin ». Membre de l’Association France Etats Unis, je me servais de documents prêtés par l’ex consulat américain de Nice et son Conseiller, Gilles Daziano, sur la vie des femmes dans la politique américaine.
Ce fut aussi le début d’enquêtes généalogiques, qui devaient durer des décades et m’amener jusqu’en 1540 en Suisse, passant par l’Alsace…Mais aussi en d’autres régions de France et en d’autres pays.
Le peuplement européen de l ‘ ex Algérie française peut se comparer à celui des Etats Unis d’Amérique, avec son « melting pot »… Parmi mes ascendants plusieurs branches alsaciennes optèrent, avec succès, pour le Texas, d’autres furent dirigées vers l’Algérie par les Pouvoirs de l’époque.
Les enfants grandissaient, montraient des personnalités très différentes. Je m’efforçais de leur donner les moyens de devenir vraiment eux mêmes et pour mieux les suivre dans leurs études, devins présidente de l’ « Association de Parents d’Elèves de l’Enseignement Public », d’abord pour la seule ville de Nice, ensuite pour les trois départements, Var, Alpes Maritimes, Corse… Ce fut une période enrichissante d’études et de recherches .
Suivit le lancement , par Chaban-Delmas, de la «Formation Permanente dans les Universités « , pour laquelle je militai ardemment…La rencontre, en commisssions, de Conseillers d’Etat, et Universitaires de haut niveau me délivrèrent de mes complexes quant aux agrégations et autres doctorats.
Par ailleurs l’organisation, couronnée de succès, d’un salon d’entr’aide, au profit d’artistes d’Afrique du nord fut le prélude à la publication d’un document :
-« Côte d’Azur, Peintres et Sculpteurs », devenu, paraît il, un « must » pour les collectionneurs.»
Dans la foulée fut créée la « FARCA », « Fédération artistique de la Côte d’Azur », association de soutien aux artistes, qui se battit vaillamment pendant une bonne dizaine d’années pour visiter les ateliers, mettre en contact amateurs d’art et créateurs…
Le poids moral de tous ces groupes aida certainement la création d’un musée privé :
le « Musée International de Malacologie » dans le Vieux Nice. Mot peu commun, « malacologie » , vient du grec, « malacos » qui signifie « mou ». La malacologie est la science de ces animaux à corps mou, les mollusques, qui, le plus souvent, sécrètent des coquillages…
Le musée fonctionna en centre culturel dans le vieux quartier de la ville. Les enfants se plaisaient beaucoup dans cette unité pédagogique. Plusieurs d’entre eux y trouvèrent une vocation…Finalement le musée devint propriété de la ville , ma famille étant lasse de mes incessantes activités…
Celles ci me valurent une place dans le «Who’s Who of American Women ». Bien loin d’imaginer alors que mes dernières années se passeraient aux USA…
Et ce fut le début d’une fructueuse récolte : la naissance de mon premier petit-enfant, Nicolas, fils de Colette, qui fut absolument adoré , puis de son frère, Jean Pierre, lui aussi très remarquable spécimen d’humanité, comme Gabriel , premier enfant de Jean Louis, suivi par sa soeur Flora, ensuite Océane, fille de Romain, suivie par sa soeur Maïa, son frère Loris… Dernier en date, Paul, troisième enfant de Jean Louis et finalement le 1er janvier 2010, arrivée du premier arrière petit-fils , « Matteo » fils de Jean Pierre et Marion, puis de sa petite soeur, Nina…. Et puis suivirent Antón et Romane enfants de Gabriel et Thévy et enfin Jacob fils de Flora et Benoît…
Tous, et chacun d’eux apportent leur générosité, leur ouverture d’esprit, leur courage, leur ardeur à bien faire, bien dire, bien penser…
Là sont mes vraies richesses…même si, aujourd’hui, elles sont devenues quasi virtuelles…
Mais revenons aux années 90. Le temps me fut enfin donné pour revenir à ma vieille passion : l’Histoire du Maroc et préparer la biographie du premier Saadien.
Pendant cinq ans, tous les matins, dès l’aurore, je retrouvais mes personnages et mes immenses amis, les érudits français. Installée dans un énorme fauteuil de style Régence, en bois doré, tapissé de soie rouge, je dégustai mon café fort dans un tasse vénitienne , dix huitième siècle, provenant de la Kasbah d’Alger…
Le livre était né :
« El Mahdi le Saàdien, roi de Marrakech et Fès 1491-1557 »…
Impossible ensuite de trouver un éditeur en France, encore moins au Maroc, où je fis un voyage, pour apprendre que le Roi Hassan II ne voulait entendre et lire que ce qui concernait sa propre dynastie…
En même temps que cet échec une avalanche de deuils familiaux majeurs successifs s’abattit sur moi. Déséquilibrée, plongée dans une sorte de désespoir, de laisser-aller je croyais être parvenue au terme de mon existence…
Non loin de moi une famille harmonieuse et aimante, chacun menant pleinement sa vie personnelle. Et c’est par mes enfants et mes petits enfants, avec leur assistance, leur enseignement, que j’abordais la nouvelle ère, celle de l’électronique et des ordinateurs qui, pour moi, allait prendre tant d’importance.
Jusqu’au jour où une petite voix se mit à m’admonester :
-« C’en est assez ! Tu dois réagir ! Tu dois te battre ! Trouve un éditeur ! Cherche-le aux Etats Unis , par Internet » !!!
Ma bouteille à la mer prit la forme d’un e-mail, adressé au vice président d’une importante société d’imprimerie de Californie….sans attendre vraiment de réponse… Mais voilà qu’elle arriva, courtoise, charmante, et… en Français ! Avec des renseignements pertinents…
Remercier semblait la moindre des choses…Une correspondance s’engagea…
-« J’aime beaucoup la France, j’ai visité Paris déjà six fois » m’apprit mon nouveau correspondant. Bientôt vint un appel téléphonique. J’appréciais son accent classique. Nos échanges d’idées montraient nos correspondances , nos similitudes de goûts et de pensée…Et voilà : ma vie n’était pas terminée…
Habitée par l’esprit de mes ancêtres, malheureusement pionniers d’Algérie (« Pioneers= pieds-noirs) au lieu d’ avoir été pionniers d’Amérique, je débarquai à l’aéroport de Los Angeles (Lax), le 23 mars 2001 …
William Wayne Dunn-Hubbell , dit plus simplement « Bill » , m’attendait là.
Depuis, il semble bien que, pour une femme française, j’aie battu un record en assistant, avec mon mari américain, « fan » de base ball, à cent onze matches de ce sport national… Ai visité 36 Etats, visionné des milliers de films, applaudi de nombreuses comédies musicales au théâtre, et dégusté la meilleure cuisine française ici et là, aux USA. (note)
Une nouvelle existence m’a ainsi été offerte, comme un grand cadeau dont je suis reconnaissante… Jusqu’à quand ? Combien de temps encore ?
–« Pour réussir sa vie, disait en substance Napoléon, il faut se comporter comme si l’on était immortel »…
C’est ce que, Bill et moi, nous efforcions d’accomplir…. jusqu’à sa disparition fin 2020 et mon retour en France.
Ma série : « California me voilà » conte tous les détails de cette nouvelle vie.
Lettre à mon grand fils, Jean-Louis Valero
Toute ma gratitude affectueuse pour tous les soins que tu m’as apportés, chaque jour depuis mon arrivée à l’aéroport de Paris, le 29 mars de cette année 2021. Ton accueil et celui de ton épouse Stéphanie, « ma chérie » et de tes trois enfants, Gabriel, Flora et Paul, ont fait de cette période de ma vie, la dernière, l’une des meilleures, et, peut-être même, la meilleure de toute ma longue (et active) existence. Ce fut unique et merveilleux.
Ta maman
TRAVAUX
Agée de trois ans, et trop timide pour incarner “Madame” fut la suivante de Lady Malborough, danss la vieille chanson “Monsieur Malbrough est mort… Madame à sa tour monte etc…”
Denise est la troisième à gauche, petite fille en longue robe blanche…
ce « show »avait été organisé par Reine Paulet, dans l’atelier du professeur de danse, Miss Mac Kay, à Alger…
B
1) 8 ans, école Tirman, Alger, organisation tombola gratuite, et chanson:
“Sur la route de biscuit”…
2) en classe de 5ème, Lycée pilote “ Fromentin”, interprétation de “Esther” de Racine, présentée en totalité. Rôle de “Esther” devant tous les professeurs et parents d’élèves, dans la Cour mauresque du lycée Fromentin..
3) ”Irène, Impératrice de Byzance” Tragédie classique de mon cru en trois actes, en alexandrins(Alger 1937) Interprétée par des élèves devant plusieurs professeurs et Madame Hatinguais, directrice de Fromentin,Fondatrice de son Internat et Future fondatrice des “Etudes internationales de Sèvres”.. Dans la grande salle de dessin en rotonde.
4) Poèmes ”De l’aube au crépuscule”(Alger 1938-Nice 1994)
5 “Petite Histoire des ruines portugaises au Maroc” ( Imprimerie universelle, Casablanca 1952)
6 “Brésil 1956” récit de voyage.
7 L’Impérialisme masculin (Nice 1959:inachevé)
8 Généalogie familiale déposée auprès du CFH: Centre francais d’Héraldique avec Armoiries (publiées dans l’Armorial français, Nice 1958-!993)
9) “Côte d’Azur, Peintres et Sculpteurs”, document (Nice 1961, Editions Molière)
10) “Journal” (année 1964). Manuscrit. ( Nice –Corse)
11 ) “Racines aériennes” (“Le Consul”, “Le Peintre”, “L’Appartement”) Nice 1964
12) Création d’un musée privé dans le Vieux Nice, le “Musée international de malacologie” Nice 1969
13) Bulletin malacologique “Pes Pelicani”, exposés, communications, conférences
( Nice 1965-1992).
14) Fondations d’associations 1901:
-Association familiale Valéro-Boulet (Nice 1987), cf. Blason
-“UAALA”::Union des Anciens et Anciennes des Lycées d’Algérie”. (Nice 1963)
-“FARCA”= Fédération artistique Côte d’Azur, ( Nice 1962)
-“CFMCA”= Centre francais de malacologie Côte d’Azur”(Nice 1967).
15) Responsabilités socio- culturelles diverses.
Présidente générale APELC-Nice, (Nice 1969)
puis “Régionale”Parents Elèeves Lycées et Collèges (PEP 1972).
16)Distinctions:
-Chevalier Ordre Mérite Social ( Nice 1964)
et autres distinctions..
-Mentionnée “Who’s Who of American women 9th edition 1975/76.
17) Organisation avec sa fille Colette Maréchal Tavanti,d’un
“Festival de malacologie” Paris , Louvre, Musée des Arts Décoratifs décembre 1972. Conférence-diaporama. ( Contribution des Professeurs Pierre Gossé et René Huyghe Membres de l’ Institut.
18)“Au bord de la mer, que devenir”commande Hachette Jeunesse.
Maquette Pierre Belvès ( Nice 1973-74).
19) conférence au “CUM”:
Carrefour Universitaire Méditerranéen, Nice: -“ De la Préhistoire à Mururoa les coquillages vous parlent de l’Homme”(1973).
20) Seize histoires de coquillages” ( Nice 1976)
21)“El Mahdi Le Saàdien” (1er jet Nice 1979-1984.)
Premières lectrices Elisabeth Valéro et Marie Louise Montagner.
22)“ Les cèdres de Teniet el Haad” Nice 1988.
23)“ Le voyage magique de Vahine Toua” diaporama
Musique de Jean Louis Valéro, présenté à Nice Acropolis, 9 décembre 1989.
24) “Mare Nostrum, jeux d’eau”(Olmetta di Tuda, Corse,1964- Nice1994).
25) “Entre le sable et les étoiles, une vie 1923-1990” (Nice 1990.)
26)“Poèmes de Carle et Cathy ( Nice1992-93)
27) Participation à des recherches historiques de groupe pour la connaissance des Hauts Plateaux Sétifiens (Algérie) et plus précisément de Bordj Bou Arréridj.
28) Année 2000: Création d’un Website culturel et éclectique: http://denisevb.free.fr
Aide technique et sine qua non de mon petit fils Nicolas Tavanti, assisté de son frère Jean Pierre
29 ) “El Mahdi le Saàdien, roi de Fès et Marrakech (1497-1557)
Couverture Jean Louis Valéro
( Nice 1979-1984, repris à San Diego, Californie 2004-2005)
Publié , Trafford edit 2006) Copyright: ISBN 1412074789. Cf:
-Bibliothèque IMA: “Institut du Monde Arabe”, Paris, réf: MA 921 1 MU4 IMA
-et Archives Canada: “ AMICUS 325 485 65 Monographie”
30) Conférence:”Amitié franco-marocaine”
Alliance francaise de San Diego, CA 26 avril 2006.
31 “Petites histoires dans grande Histoire” (Volume 1) San Diego 2007.
32) En préparation: avec de nombreuses illustrations:
en Anglais: -” Memories of a New Citizen”
en Francais:” California, me voilà ! Mon aventure américaine ”
San Diego, 2008. En quatre parties:
a) How it happened, b) My life in San Diego, Southern California.
c) Julie Frenchie discovers America, d) Now what to say after a seven years stay.
CONFERENCES:
liste non limitative.
Une sélection:
FRANCE.
PARIS:
Palais du Louvre, Pavillon de Marsan
Musée des Arts Décoratifs,
Salle de Conférences et Atelier des Grands:
“Du réel à l’imaginaire, Coquillages”
décembre 1972.
Aix en Provence: Sous l’égide de “GAMT”:
”Généalogie Algérie, Maroc, Tunisie”
“Raisons de l’immigration alsacienne en Algérie au 19ème
siècle avant 1870.
E
Vichy:
Centre culturel de la Ville de Vichy.
“L’univers magique des coquillages”(1973).
Nice:
-CUM: “Carrefour universitaire méditerranéen”
“De la préhistoire à Mururoa les coquillages vous parlent de l’Homme” (décembre 1973).
– Acropolis, Salle Hermès:
“Coquillages… Le voyage magique de Vahine Toua, la femme du large”…
musique : Jean Louis Valéro.
9 décembre 1989.
-Hôtel La Malmaison
Sous l’égide de l’UAALA,”Union Anciens et Anciennes des Lycées d’Algérie”
-Eléments de l’Histoire du Maroc, Des origines au début du 20ème siècle.
-Epopée portugaise au Maroc:1415-1769
-“San Diego, CA, tel que je l’ai connue” ( Janvier 2002)
USA:
San Diego, Californie sous l’égide de l’Alliance francaise
“Amitié franco marocaine” avril 2006.
bravo envoyez le lien aux enfants bises
Tu pourras voir que la véritable salade niçoise est aussi une vraie thérapeutique anti diabète!!!
Et aussi comment on « prenait » des coups de soleil en Afrique!!!
Gros bisous
D.
Un grand coup de chapeau pour cette nouvelle présentation, si jolie, si bien organisée et qui me replonge dans… vous.
Il est bon de se renouveler… Souvent femme varie…
http://pages-tambour.blogspot.com/
Désormais… vous êtes chez moi..
http://pages-tambour.blogspot.com/
Chère Denise,
Très belle réalisation, excellente maîtrise du BLOG, travail précis avec le souci du détail et avec le talent en plus.
Et puis, ces petites vidéos, rendent les souvenirs tellement plus vivants…
Bravo.
Luc.
Bonsoir cher Luc!
Comment allez vous?
De mon côté je commence à émerger!!!
Très beau site, des images très émouvantes d’une époque très belle.
Bonsoir,
Merci d’avoir fait un tour sur mon blog. Cela vous a plus vous m’en voyez ravie.
Le vôtre est bien garni aussi et surtout très instructif.
Amicalement
Geneviève
Maintenant ! faut passer par FB pour atteindre le Blog de Denise ?? Je rêve ??
Je croyais à un échapatoire récente ?
Je répodrais à votre mail et deviens encore une fois l’amie vôtre….
J’ai retrouvé le chemin du Blog de Denise.. Impossible de le rater, il figure à la première ligne de la recherche avec Google…
C’est bien.
Tant mieux! Bravo! A bientôt.
Bonjour,
Toute ma gratitude pour ces quelques lignes sur le Chanoine Banton et sa photo (site home.nordnet.fr/jcpillon/piedgris/banton). En effet, il était cousin germain de mon arrière-grand-père (Reynaud). La soeur du Chanoine a été mariée à mon arrière-grand-mère, laquelle est morte lors de sa première grossesse. Puis il s’est remarié et je suis issue de cette descendance. Et l’épouse de mon arrière-arrière-grand-père (Laurent Reynaud) était Marie Banton ; lui était athée et franc-maçon, elle n’a consenti à ce mariage qu’à la condition de pouvoir élever ses enfants dans la foi catholique, ce qu’il a accepté, car dans la famile Banton, me disait ma tante, depuis 500 ans, chaque génération « donnait naissance » à un prêtre.
Je suis très intéressée par toute information et détail le concernant.
Toute ma famille vivait aux Trembles et j’ai retrouvé beaucoup d’eux, y compris des photos de mes grands-parents, la tutrice de ma mère, la marraine de mon frère, etc, sur un site intitulé « les trembles ». J’ai été très touchée par le plan du cimetière.
Oui, l’exil… toutes mes racines ont été exilées de France vers l’Algérie, puis d’Algérie vers la France, et ma mère a épousé mon père puis ils sont partis aussitôt en Afrique noire, où je suis née et ai passé les 17 premières années de ma vie… puis l’exil vers la France pour mes études… C’est drôle, juste avant de découvrir ces sites hier soir, je lisais ce passage de la Bible où le Seigneur dit à Abram : « Quitte ton pays, quitte ton père, quitte ta parenté »… que de « quitte » ont-ils et avons-nous vécus !
Bien à vous,
Agnès Marie Rive (Rebolle de par ma mère).
Je découvre votre message à l’instant.
Il passionnera ma fille Colette , arrfière petite nièce du Chanoine.
Nous le nommions « L’ Abbé »…
Nous étions très grands amis.
Vous citez le site de M. Pilon sur Oran… La photo vient de mes archives et je l’avais évidemment amicalement envoyée, avec le texte, à ce « pied gris », comme il aime se nommer…
Très touchée par votre message
Merci.
Denise Boulet-Dunn (ex Denise Valéro-Boulet).
bsr, je suis l’arrière petit-fils de Jacques Busquet. Merci pour votre témoignage.
Jacques
Votre arrière grand père était un être merveilleux…Je ne l’ai,pas assez dit, pas assez écrit!
Vous possédez, certainement, ses travaux, sa thèse sur le Droit coutumier corse?
J’ai perdu ses photos. Pourriez vous m’en transmettre afin d’en publier?
Denise Boulet-Dunn (ex Denise Valéro-Boulet-)
Bsr,
Je n’étais pas retourné sur votre site et je n’avais pas vu votre réponse du 19 avril.
Donc oui bien sûr je peux vous transmettre des infos / photos. (Quelle adresse). Je ne connais pas du tout cette facette de la vie de mon arrière grand père (AFANOMA). J’aimerais vraiment connaître plus de chose.
Je retourne sur votre site se soir car je reviens d’un apéritif chez des amis et j’apprends que les parents de la personne chez qui j’étais ont participé à l’ANFANOMA à Nice de 1961 à 1965. Il s’agit de Monsieur HAVART ou HAVARD et de de son épouse FERRERE. Cela vous dit-il quelque chose? Et nous nous demandions s’il avaient pu connaître mon arrière grand père.
Cordialement
Jacques
Magnifique, j’aime beaucoup.
Je suis admirative.
Oui se croire immortelle et c’est ce que je veux croire.
ne pas se laisser abattre et toujours avancer et même dans les difficultés.
Je vous embrasse. A bientôt.
Marie-Eudoxe
Merci de ne pas hésiter à partager mon blog 😊😊😊
https://marieeudoxeblog.wordpress.com
Chere Marie-Eudoxe, je decouvre aujourd’hui 18 aout votre message du 18 juin {anniversaire du fameux « Appel du General de Gaulle »]…Je vous connais par Minou qui vous aime tant et j’aime aussi votre blog. Bravo pour ce que vous ecrivez avec tant de coeur.Ces blogs sont de merveilleux outils de communication. Je vous souhaite de vous maintenir en grande forme Le telephone est aussi tres prtique pour maintenijr mes liens avec tous ceux et celles que j’aime
De retour vers vous apres ce terrible choc du 5 Octobre 2018…Vous restez liee dans ma pensee affectueuse a celle qui a si brutalement disparu.. Vous l’aimiez aussi comme elle vous aimait..et comme je l’aimais aussi….C’est un lien pour moi avec vous…J’aimerais vous en dire davantage…Comment allez- vous??? Je vous embrasse. Denise
Bonjour,
J’ai repris il y a 3 ans la présidence de l’association des Anciens de Fromentin La Rochelle.
Je souhaiterais publier dans notre prochain bulletin un article sur le Lycée Fromentin d’alger. Pouvez vous me faire parvenir des documents sur l’histoire de l’établissement et quelques photos d’illustration?
Une amicale des anciennes élèves existe t’elle toujours?
Merci d’avance
Gérard MARCHAUD
gmarchaud@orange.fr
Bonsoir Madame,
Je vous écris dans le cadre d’un doctorat d’histoire en cours: j’ai vu que vous aviez travaillé un temps avec Pierre Battesti.
Auriez vous un numéro de tél pour que je puisse avoir une conversation à son sujet ?
Mon mail: joelcalmettes1@gmail.com
Bien à vous,
Joël Calmettes
Chère Denise, Paulette, à Nice , aimerait avoir de vos nouvelles
Chère Denise,
Avons été en contact sur Bordj, à propos des familles ACKERMANN et GILARDI.
Je souhaiterais échanger quelques données nouvelles.
Merci de me contacter à l’adresse:
GanderGe@aol.com
Amicalement.
Georges GANDER
C’est avec grand plaisir que je trouve votre message et y réponds . De retour en France, après 20 ans de séjour en Californie, et le décès de mon mari américain, excusez le temps pris avant de vous répondre. Ce fut une terrible triode de ma vie…
Bonjour Denise
Grâce à mon fils Patrice, j’ai revu aujourd’hui avec un immense plaisir la vidéo de votre Maman sur « la cigale et la fourmi »
Quelle immense bonheur de la revoir!
Et ce soir j’ai recherché sur internet et je vous ai retrouvé
J’ai aussi appris la triste nouvelle de la perte de votre époux
Je pense très fort à vous et vous souhaite bon courage
Peut être pourrions nous reprendre contact? par émail?
Je tenais à vous dire que je vais régulièrement sur la tombe de votre Maman à Antibes , mes parents sont aussi enterrés là
Je vous embrasse
Anne Pignon (ex Lepoutre)
Chère Anne
Je trouve votre message aujourd’hui 23 avril 22! Il m’aura fallu plus d’un an pour me remettre de mes terribles… »émotions » là-bas »!!!J’avais complétement abandonné mon blog et le retrouve ces jours ci… J’adorerais, vous revoir, et beaucoup bavarder et vous raconter et vous écouter. mais je suis très handicapée, physiquement, Je suis à Dourdan…Comment faire??? Essayez internet: Franceamour1923…
J »‘aime beaucoup Patrice votre fils adorable. Mon aîné, Jean Louis, est aussi, un être merveilleux avec moi. Répondez moi vite si possible!!
Je vous embrasse fort.
Denise.
Chère Madame,
Je me permets aujourd’hui ce message car, en parcourant votre blog, j’ai cru comprendre que vous avez été une grande amie de Yael Caroz. Il se trouve que je découvre ses recherches sur l’écrivain Pierre Neyrac ( j’ai à l’instant même son mémoire de maitrise de 1977 sous les yeux). La fille de cet écrivain a été ma professeur de français et une grande amie. J’habite aujourd’hui sa maison ( l’histoire est longue ! ) et découvre l’histoire de son père. Peut-être pourrions-nous échanger… En espérant ne pas abuser de votre temps et de votre générosité,
Bien à vous
Sophy Camacho
Je trouve aujourd’hui lundi 26 décembre 2022 votre message citant Yael Carroz, ma très grande amie d’enfance, hélas disparue.J’aimerais, vraiment beaucoup prendre, contact avec vous. Apmrès 20 ans de séjour en Californie sud, je suis rentrée en Fra
suite de mon message réponse. Vous pouvez m’écrire à Denise Boulet-Dunn, 14 avenue d’Etampes,91410 France ou par internet,à,
franceamour1923@icloud.com et je vous répondrai. Ce serait une grande ,joie pour moi de vous parler de Yael!!!Sa fille me connaissait sous le nom de Denise Valéro-Boulet…
J’ai délaisse longtemps ce site pour raisons personnelles.